C’est l’histoire de mon ami le cailloux. Il était dans sa dernière vie. Ses pensées allaient vers les moments doux. Il n’avait pas la Sagesse de ses vies, Petit cailloux avait la sagesse des rires. Il aimait poser son regard sur le monde, En une fraction d’éternité, il évitait le pire ! Dans un éclat de métal, il faisait la ronde, D’un cœur encore émerveillé de l’instant présent. Pourtant, c’était la fin des temps, Comme la forme floue d’un nuage. Les saisons tristes disparaissaient lentement !
Anne Van den Sande
La vie disparait-elle sans laisser de trace ?
Nous attendons très souvent que le temps passe, pour ce rendre compte que l’on perd son temps à s’inventer une vie, à se raconter des histoires qui font peur ! Ces contes qui nous font rester au pied du mur. qui nous rendent malade. Au point de se dire lors de son dernier souffle, le regret de ne pas avoir fait les choses autrement !
Mais que faire pour ne pas avoir de regret ? Comment ne pas laisser cette peur du renouveau, nous empêcher de vivre ? J’étais passé dans l’art de maitrisé ma vie, de ne montrer que ce qui allait bien, d’oser faire mais sans pour autant le faire. Je maitrisais l’art de brasser du vent. A force de le brasser, la tempête est venue sonner à ma porte. D’un coup de ballet, je me suis retrouvé sans plus rien à brasser. Je me suis assise, pour regarder le drame qui ce jouait devant moi. Je découvrais le résultat de ma peur, celle de ne pas réussir, de ne pas créer une vie qui me correspondait !
Il ne me restait plus qu’une chose à faire, c’était de me lever et de penser autrement ! Je ne voulais pas en faire mon ennemie mais une force, cette peur pouvait prendre ça vrai place , celle de me défendre si un réel danger arrivait. J’ai commencé doucement en me créant des objectifs, un part un je les ai réalisé. Aujourd’hui je maitrise l’art de faire les choses à mon rythme. Mais de les faire !
Et vous que seriez-vous prêt à mettre en place pour que votre vie ressemble à celle qui vous fait vibrer. Il ne faut pas commencer avec de grand projet, rassurez-vous en commençant par de petites choses. la peur d’aller vers les autres ? Et bien dite vous que dire bonjour en regardant dans les yeux la vendeuse du supermarché, est une belle première étape. La deuxième écoutez la vous dire bonjour. Vivre comme un nomade. Commencez par un week-end, vo s vacances, faite le vibrer dans votre corps et votre coeur. Pour que votre peur ne prenne plus le dessus mais comprenne qu’elle peut vous faire confiance, que si vous avez besoin d’elle en cas de danger extreme, vous ferez appel a elle.
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