Que ce monde va vite, plus nous courons plus nous cherchons a créer de la vitesse. Et puis un jour notre corps nous stoppe. Il va le faire de manière différentes. D’abord en douceur, des rhumes, des grippes…
Et si nous pensons toujours que nous sommes increvable, de super héros que rien ne peut nous arriver, alors il y met le paquet. Une maladie plus grave, un accident… il s’arrange pour nous faire ralentir. Pour que nous voyons la vie autrement. Mais ce que le corps oublie c’est la puissance de notre mentale, de notre auto-sabotage. Et là, la douleur d’être diminuer, d’avoir le sentiment de ne plus être soi, d’avoir perdu son essence, fait que l’on passe encore à côté de soi. La colère, l’angoisse de ne plus toucher au bonheur ronge le coeur.
L’humain parfois ce réveil pour suivre enfin son chemin. Celui qui va l’unifier. Il commence par accepter sa maladie, son accident… et va comprendre pourquoi, il en est arrivé là. Afin de ce libérer.
Il sera plus fort. Il ne sera plus le même ça c’est certain ! Il aura une vision du monde plus proche de lui. Il comprendra l’importance de ralentir, l’importance de trouver sa propre façon de ralentir. Sa propre façon de vivre en harmonie avec la terre. Certain ne connaîtront pas les douleurs de la maladie. Mais d’autres connaîtront les douleurs intérieur. Celle qui blesse votre être, votre âme, celle qui ne laisse pas de trace extérieur. Pour eux le combat commence seul car le monde n’a pas de compassion tant qu’il regarde avec les yeux. Apprenons à ouvrir notre coeur rien que pour soi. Ensuite ouvrons le, partageons le, si le cœur nous dit.
J’aimerais un monde ou le chemin de vie soit facile. J’aimerais un monde ou l’être humain ne profiterait pas de la bonté de ses congénères pour le détruire, en faire profit. J’aimerais un monde ou les yeux ne serviraient qu’avoir les merveilles de ce monde. J’aimerais un monde ou les rencontre ne sont que des rencontres de coeurs celles qui vous font voir que ce monde est encore plus beau quand ont est deux… J’aimerais un monde ou la dureté soit remplacé par l’empathie… J’aimerais un monde ou dire je t’aime soit un bonheur partagé. Et j’aimerais que ce tout petit mot résonne en chacun de nous. J’aimerais encore vous dire une dernière chose. Une foi que nous avons traversé, accepté, compris, les épreuves de la vie, je peux vous promettre que votre vision change et que votre bonheur est au creux de votre main. Et qu’il n’y plus qu’à le prendre.
Soyez qui vous êtes en harmonie avec votre coeur. Soyez heureux.
Anne Van den Sande
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